Se nourrir est un droit !
"Parlons de ce concept fondé sur le « droit des peuples
à se nourrir, à vivre dans la sécurité alimentaire », mais pas de n’importe quelle manière !
Parlons de cette souveraineté alimentaire qui demande une approche globale et implique une certaine autonomie des États et des populations vis-à-vis des politiques nationales et internationales, soit une « souveraineté » sur le choix des politiques agricoles à développer."
Extrait de l'invitation au colloque
Intervention de J.P. Peemans (Professeur à l’Institut d’Etudes du Développement, IED/UCL)
les Politiques agricoles au fil du temps : logiques dominantes et conséquences :
Partie 1ère :
Comment analyser l’évolution des politiques agricoles et leur lien avec le développement. On peut diviser les politiques agricoles en trois grande école de pensée : l’école évolutionniste, l’école Fordiste, le modèle paysan de développement.
Partie 2 :
L’évolution des politiques agricole s’est fait en plusieurs phases. Retour en arrière sur l’exemple britannique du 19eme siècle. Elimination de la petit paysannerie et protection pour protéger les intérêt des grands propriétaires ensuite ouverture sous la pression des industriels.
Partie 3 :
Les Etat-Unis initient une nouvelle politique avant le deuxième guerre mondiale. C’est le modèle fermier de modernisation basé sur l’utilisation des céréales dans l’élevage, l’émergence des multinationales, et le soutient de l’Etat.
Partie 4 :
Deuxième période 1950-1980 après la deuxième guerre mondiale et la domination des EU voit arriver la mise en place de la PAC en europe basé sur l’analyse du retard par rapport au EU et donc la mise en place du modèle fermier de développement en europe. Et le contre exemple du modèle chinois qui veut préserver la petite paysannerie.
Partie 5 :
Evolution dans les pays du Sud à partir de 1980 et l’influence des politiques d’ajustement structurel. Au Nord et ensuite au Sud, l’influence des entreprises globalisées et le contrôle de la chaîne agroalimentaire. Le renforcement du modèle fermier avec les réformes de la PAC (1992, 2003,…) et les effets de le concentration dans la distribution après la concentration de la production. Pour finir par le Cycle de Doha où plus de libéralisation de l’agriculture sert de monnaie d’échange pour obtenir la libéralisation des services, investissements…
Partie 6 :
Impacts destructeurs du modèle dominant. Et les nouvelles promesses pour nous faire accepter la perpétuation du système dominant. Les raisons de s’impliquer face à une situation qui n’a rien d’inéluctable. Vive la souveraineté alimentaire !
Portraits de partenaires du "Sud"
à se nourrir, à vivre dans la sécurité alimentaire », mais pas de n’importe quelle manière !
Parlons de cette souveraineté alimentaire qui demande une approche globale et implique une certaine autonomie des États et des populations vis-à-vis des politiques nationales et internationales, soit une « souveraineté » sur le choix des politiques agricoles à développer."
Extrait de l'invitation au colloque
Intervention de J.P. Peemans (Professeur à l’Institut d’Etudes du Développement, IED/UCL)
les Politiques agricoles au fil du temps : logiques dominantes et conséquences :
Partie 1ère :
Comment analyser l’évolution des politiques agricoles et leur lien avec le développement. On peut diviser les politiques agricoles en trois grande école de pensée : l’école évolutionniste, l’école Fordiste, le modèle paysan de développement.
Partie 2 :
L’évolution des politiques agricole s’est fait en plusieurs phases. Retour en arrière sur l’exemple britannique du 19eme siècle. Elimination de la petit paysannerie et protection pour protéger les intérêt des grands propriétaires ensuite ouverture sous la pression des industriels.
Partie 3 :
Les Etat-Unis initient une nouvelle politique avant le deuxième guerre mondiale. C’est le modèle fermier de modernisation basé sur l’utilisation des céréales dans l’élevage, l’émergence des multinationales, et le soutient de l’Etat.
Partie 4 :
Deuxième période 1950-1980 après la deuxième guerre mondiale et la domination des EU voit arriver la mise en place de la PAC en europe basé sur l’analyse du retard par rapport au EU et donc la mise en place du modèle fermier de développement en europe. Et le contre exemple du modèle chinois qui veut préserver la petite paysannerie.
Partie 5 :
Evolution dans les pays du Sud à partir de 1980 et l’influence des politiques d’ajustement structurel. Au Nord et ensuite au Sud, l’influence des entreprises globalisées et le contrôle de la chaîne agroalimentaire. Le renforcement du modèle fermier avec les réformes de la PAC (1992, 2003,…) et les effets de le concentration dans la distribution après la concentration de la production. Pour finir par le Cycle de Doha où plus de libéralisation de l’agriculture sert de monnaie d’échange pour obtenir la libéralisation des services, investissements…
Partie 6 :
Impacts destructeurs du modèle dominant. Et les nouvelles promesses pour nous faire accepter la perpétuation du système dominant. Les raisons de s’impliquer face à une situation qui n’a rien d’inéluctable. Vive la souveraineté alimentaire !
Portraits de partenaires du "Sud"
Linda Villagrande (Guatemala)
Linda Villagrande est membre de l'asso SEJUS (Service Juridique et sociaux qui soutient la petite paysannerie) au Guatemala.
Réal : S. Desgain + J. Truddaïu
Yuni Mensaya (Philippina)
Y. Mensaya est coordinateur "agriculture durable" au sein de Caritas Philippine.
Real : S. Desgain + J. Truddaïu